L’hôpital Al-Nafis, dans le nord de Damas, a la lourde tâche de recueillir des hommes brisés, libérés de l’enfer carcéral du clan Assad. Les médecins n’avaient jamais vu une telle détresse psychologique. Les familles, elles, tentent désespérément de retrouver les leurs dans les couloirs des urgences ou à la morgue.