Le 19 avril, la Déclaration de New York soulignait le vaste consensus scientifique sur l’existence d’une conscience chez les animaux. Pour l’auteur de cette tribune, il s’agit maintenant d’en tirer des conséquences concrètes.
Gautier Riberolles est biologiste, spécialiste des comportements animaux. Ce texte est soutenu par l’association One Voice et l’Association végétarienne de France.
Les pieuvres peuvent-elles ressentir de la souffrance et du plaisir ? Et les poissons, les crabes, les crevettes ou (...)
Il y a encore quelques années, un animal en France n’était pas plus considéré qu’un meuble aux yeux de la loi.
Tout le monde le sait, un animal est doué de conscience mais ça reviendrait à ouvrir la boîte de Pandore pour ceux qui vivent de leur exploitation, d’où le lobbyisme féroce, que de l’avouer.
Il y a encore quelques années, un animal en France n’était pas plus considéré qu’un meuble aux yeux de la loi.
Tout le monde le sait, un animal est doué de conscience mais ça reviendrait à ouvrir la boîte de Pandore pour ceux qui vivent de leur exploitation, d’où le lobbyisme féroce, que de l’avouer.