Le 19 avril, la Déclaration de New York soulignait le vaste consensus scientifique sur l’existence d’une conscience chez les animaux. Pour l’auteur de cette tribune, il s’agit maintenant d’en tirer des conséquences concrètes.
Gautier Riberolles est biologiste, spécialiste des comportements animaux. Ce texte est soutenu par l’association One Voice et l’Association végétarienne de France.
Les pieuvres peuvent-elles ressentir de la souffrance et du plaisir ? Et les poissons, les crabes, les crevettes ou (...)
Avec prudence, les scientifiques établissent également une présomption raisonnable de subjectivité chez tous les autres vertébrés ainsi que chez de nombreux invertébrés
Hein !!? 2 !? Quoi !!??
Va falloir qu’on m’explique sur quoi les scientifiques basaient la distinction entre animal et non-animal (0_O) C’est pas la conscience qui est sensée être la différence ?
Jusque dans les années 1970, il était par exemple courant de penser que les bébés humains ne ressentaient pas la douleur, ce qui amenait à les opérer sans anesthésie
Mais il y a des gens qui sont pas bien !! C’est quoi ce délire ??
La croyance en une différence significative entre les ressentis des humains et ceux des autres animaux […]
Ça sort d’où ça ?
[…] davantage issue de notre culture religieuse et d’un mécanisme d’évitement de la culpabilité plutôt que de résultats scientifiques concrets
Ah, d’accord. Chelou… Et pas crédible comme excuse.
Je tombe des nues la tête la première sur une dalle de béton.
J’avais pas la moindre idée que des gens pouvaient s’imaginer des trucs pareils. C’est effarant, c’est effrayant.
Hein !!? 2 !? Quoi !!??
Va falloir qu’on m’explique sur quoi les scientifiques basaient la distinction entre animal et non-animal (0_O) C’est pas la conscience qui est sensée être la différence ?
Mais il y a des gens qui sont pas bien !! C’est quoi ce délire ??
Ça sort d’où ça ?
Ah, d’accord. Chelou… Et pas crédible comme excuse.
Je tombe des nues la tête la première sur une dalle de béton.
J’avais pas la moindre idée que des gens pouvaient s’imaginer des trucs pareils. C’est effarant, c’est effrayant.