À l’été 2020, le brigadier-chef Amar Benmohamed révélait des centaines de cas de maltraitances policières. Depuis, la hiérarchie policière a multiplié les sanctions contre ce lanceur d’alerte. La justice administrative vient de les annuler.
C’est facile à dire du fond de son canapé ou après avoir refait sa vie ailleurs. C’est autre chose de le faire de l’intérieur en étant en bas de l’echelle et de se prendre tout le poids de l’institution sur la gueule. Il a du courage.
C’est jute, il n’est pas question de minimiser les représailles qu’il subit. En tenant bon il a obtenu justice, et on peut espérer que ça rende les choses plus facile pour le prochain lanceur d’alerte. Pas certain que sa hiérarchie se remette en question ou le traite mieux, mais il peut se conforter sur le fait d’avoir eut justice, et d’être un flic honorable.
Lancer l’alerte contribue à améliorer les pratiques dans la police. Si personne ne parle, rien ne change.
C’est facile à dire du fond de son canapé ou après avoir refait sa vie ailleurs. C’est autre chose de le faire de l’intérieur en étant en bas de l’echelle et de se prendre tout le poids de l’institution sur la gueule. Il a du courage.
C’est jute, il n’est pas question de minimiser les représailles qu’il subit. En tenant bon il a obtenu justice, et on peut espérer que ça rende les choses plus facile pour le prochain lanceur d’alerte. Pas certain que sa hiérarchie se remette en question ou le traite mieux, mais il peut se conforter sur le fait d’avoir eut justice, et d’être un flic honorable.