Il avait raison tout au long. Paix à son âme 😞

Dans un discours prononcé devant l’Assemblée générale des Nations Unies, Mouammar Kadhafi, représentant la Libye et l’Union africaine, plaide pour plus de démocratie , d’égalité et de diplomatie dans les affaires mondiales.

Il félicite le président Obama pour sa participation à l’Assemblée et lui souhaite la bienvenue aux Nations Unies, exprimant son optimisme quant au fait que le monde s’unisse pour résoudre les défis communs.

Kadhafi revient sur la création de l’ONU, affirmant qu’elle était initialement destinée à l’Allemagne et que l’Union africaine devrait avoir le pouvoir de veto sur les décisions. Il s’oppose à certaines dispositions de la Charte des Nations Unies qui, selon lui, portent atteinte à son préambule et qui ont contribué aux conflits et aux souffrances.

Kadhafi plaide pour une réforme du Conseil de sécurité et soutient que l’Assemblée générale devrait avoir plus de pouvoir dans la prise de décision. Il critique également le Conseil de sécurité pour ne pas respecter ses propres résolutions et pour son droit de veto, arguant que cela a engendré le terrorisme et des sanctions contre les petites nations.

Kadhafi conclut en appelant à un monde plus juste et démocratique et en exhortant les délégués à envisager la possibilité de déplacer le siège de l’ONU vers un emplacement plus central.

00:00:00 Dans cette partie du discours, Mouammar Kadhafi, représentant la Libye et l’Union africaine, félicite le président Obama pour sa participation à l’Assemblée générale et lui souhaite la bienvenue aux Nations Unies.

Il exprime son optimisme quant au fait que le monde s’unisse pour vaincre les défis communs, notamment le changement climatique, le déclin économique, les crises alimentaires et hydriques, le terrorisme et les pandémies.

Il reconnaît également l’hypocrisie, la pauvreté, la peur, le matérialisme et l’immoralité qui existent dans le monde d’aujourd’hui. Kadhafi revient sur la fondation des Nations Unies, qui a été façonnée par les pays opposés à l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, et affirme que le Conseil de sécurité était initialement destiné à l’Allemagne et que l’Union africaine devrait avoir le pouvoir de veto sur les décisions.

Il note que les Nations Unies ont été fondées en l’absence de nombreux pays et que la charte devrait refléter les intérêts de toutes les nations.

00:05:00 Dans cette section de la transcription, Kadhafi argumente contre certaines dispositions de la Charte des Nations Unies qui, selon lui, contredisent le préambule du document.

Kadhafi affirme que le préambule, qui déclare que toutes les nations sont égales et que la force armée ne doit être utilisée que dans l’intérêt commun, a été mis à mal par la création de sièges permanents pour certains pays et le recours au droit de veto par ces pays.

Kadhafi évoque l’impact négatif de ces dispositions, citant les nombreuses guerres qui ont éclaté depuis la création de l’ONU et les souffrances de millions de personnes qui en ont résulté.

Kadhafi appelle à une approche plus diplomatique des problèmes mondiaux et suggère que le préambule de la Charte soit plus strictement respecté afin de maintenir la paix et la sécurité.

00:10:00 Dans cette partie du discours, Kadhafi argumente contre l’autorité des membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies, en particulier les États-Unis et la Russie.

Il détaille comment ils ont utilisé leur droit de veto pour empêcher une action internationale contre des États agressifs, ce qui a fait des millions de victimes.

Kadhafi appelle à une réforme du Conseil de sécurité, y compris la suppression des sièges permanents accordés aux pays par le biais de procédures dictatoriales. Il plaide pour une approche plus démocratique et égalitaire des relations internationales.

00:15:00 Dans cette section, Mouammar Kadhafi, ancien dirigeant de la Libye et président de l’Union africaine, s’adresse à l’Assemblée générale des Nations Unies. Kadhafi s’oppose à l’octroi de sièges supplémentaires aux superpuissances et aux grands pays au Conseil de sécurité, car cela augmenterait la pauvreté, l’injustice, les tensions et la concurrence au niveau mondial.

Il propose de supprimer l’adhésion au Conseil de sécurité et exige que les États membres soient considérés comme des unions selon la volonté majoritaire de l’Assemblée générale.

Kadhafi affirme que l’approche actuelle est un mensonge, une astuce et non un moyen de réformer les Nations Unies, et que la solution consiste à promouvoir la démocratie au niveau du Congrès général du monde, l’Assemblée générale, à laquelle les pouvoirs de le Conseil de sécurité devrait être transféré.

00:20:00 Dans cette section, Mouammar Kadhafi soutient que l’Assemblée générale des Nations Unies devrait avoir plus de pouvoir et être responsable de décider de toutes les questions, plutôt que de simplement mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité.

Kadhafi estime que le système actuel, dans lequel les décisions sont prises par un petit groupe de pays seulement, est injuste et que tout pays ou groupe de pays devrait avoir un siège permanent au Conseil de sécurité.

Kadhafi déclare que l’Assemblée générale est le véritable leader du monde et que tout ce qui se situe en dehors d’elle ne sera pas reconnu. Il appelle le président de l’Assemblée, M. Ali Abdul Salam Trekky, et le secrétaire général Ban Ki-Moon à produire un projet de loi qui donnerait à l’Assemblée générale plus de pouvoir et de représentation.

00:25:00 Dans cette section, Kadhafi propose une nouvelle formation du Conseil de sécurité des Nations Unies, où tous les pays auraient un pouvoir égal, un mécanisme de veto et un rôle exécutif sous l’Assemblée générale.

Il soutient que l’actuel Conseil de sécurité repose sur des superpuissances et constitue un terrain fertile pour le terrorisme. Il fait également valoir que la résolution actuelle adoptée par le Conseil de sécurité ne reflète pas le vote majoritaire de l’Assemblée générale et ne devrait donc pas être appliquée.

Kadhafi appelle à un processus décisionnel démocratique qui maintienne la paix et la sécurité de toutes les nations. Il désigne également le Conseil de sécurité comme une forme de terrorisme et suggère de l’abolir complètement.

00:30:00 Dans cette partie du discours, Kadhafi critique le pouvoir de veto du Conseil de sécurité et son utilisation pour protéger les intérêts des superpuissances.

Il affirme que cet usage du pouvoir a donné lieu au terrorisme et à des sanctions contre les petites nations et les petits peuples. Kadhafi appelle à la création de nouveaux Conseils de sécurité régionaux pour assurer une plus grande sécurité à toutes les nations et communautés.

Il critique également les Nations Unies pour avoir ignoré les résolutions du Conseil de sécurité, ce qu’il considère comme une violation de la charte des Nations Unies.

Kadhafi affirme que les Nations Unies ont perdu confiance dans le Conseil de sécurité et que de nouveaux Conseils de sécurité régionaux sont nécessaires pour assurer plus de démocratie et de justice.

00:35:00 Dans cette section du discours de Mouammar Kadhafi à l’Assemblée générale des Nations Unies, il affirme que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) n’est pas une véritable organisation internationale et qu’elle a un parti pris à l’encontre des pays petits et pauvres.

Il critique également le Conseil de sécurité pour ne pas respecter les résolutions de l’Assemblée générale et pour être sélectif dans l’application de la justice.

Kadhafi suggère que l’Afrique devrait se voir attribuer un siège permanent au Conseil de sécurité, comme une dette du passé, et que sa proposition figure en bonne place à l’ordre du jour de l’Assemblée générale. Il met quiconque au défi de s’opposer au siège permanent de l’Afrique au Conseil de sécurité.

00:40:00 Dans cette section du discours, Kadhafi aborde la question de l’indemnisation des pays colonisés. Il souligne qu’il est important que les pays soient indemnisés pour les ressources matérielles et humaines qui leur ont été volées à l’époque coloniale.

Kadhafi affirme que cela est nécessaire pour empêcher la colonisation d’un continent

00:45:00 Dans cette section, Mouammar Kadhafi s’exprime à l’Assemblée générale des Nations Unies sur l’élection de Barack Obama à la présidence des États-Unis. Kadhafi fait l’éloge de l’élection d’Obama, la qualifiant d’événement historique et de signe de changement.

Cependant, Kadhafi craint que le mandat d’Obama ne soit bref et que le pays ne revienne à ses politiques antérieures. Il critique également les anciens présidents américains, les accusant de menacer la Libye avec des armes et d’ignorer la communauté internationale.

Kadhafi note qu’Obama a lancé un appel sérieux en faveur du désarmement nucléaire et que le monde entier devrait s’unir pour résoudre les problèmes.

Il insiste sur le fait que la démocratie ne doit pas être imposée de l’extérieur et que les pays doivent travailler ensemble sur un pied d’égalité.

00:50:00 Dans cette section, Kadhafi s’adresse à l’Assemblée générale des Nations Unies et remet en question l’idée d’un monde avec tant de polarités, où les pays ne sont pas sur un pied d’égalité. Il appelle à un monde où les grandes et les petites nations soient égales. Kadhafi est également en désaccord avec l’ONU, arguant qu’elle devrait être transférée de New York vers un emplacement plus central et être plus confortable pour les délégués, qui, note-t-il, sont souvent victimes du décalage horaire et épuisés par les longs trajets pour assister aux réunions. En outre, Kadhafi exprime ses inquiétudes quant à la sécurité du siège de l’ONU et à sa capacité à mener d’éventuelles attaques terroristes.

00:55:00 Dans cette section, Kadhafi discute de l’idée de déplacer le siège des Nations Unies vers un autre endroit, plus précisément dans l’hémisphère moyen ou oriental. Il affirme qu’après 64 ans d’existence dans l’hémisphère occidental, il est temps de changer et que l’Amérique est la cible des terroristes. Il affirme que les mesures de sécurité ont été trop strictes, causant des problèmes aux délégations et aux fonctionnaires. Kadhafi suggère que les pays devraient être autorisés à déplacer leur désignation vers la capitale Pékin ou Delhi, arguant que ces villes seraient des choix logiques car elles ne sont hostiles envers personne d’autre. Il estime que personne n’aura d’objection à cette proposition et que l’Amérique le remerciera d’avoir atténué ses difficultés. Il reconnaît toutefois que sa proposition pourrait susciter des controverses, notamment aux États-Unis et en Amérique du Sud.

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Dans son discours à l’Assemblée générale des Nations Unies en 2009, Mouammar Kadhafi a exprimé son point de vue sur divers sujets, soulignant la nécessité de juger et de rendre responsables les responsables d’agressions et de violations de la Charte des Nations Unies, notamment l’invasion de l’Irak et le procès de Saddam Hussein. Il a également critiqué les mauvais traitements infligés aux prisonniers de guerre et le conflit en cours en Afghanistan. Il a remis en question le traitement des prisonniers de guerre, notamment la mort de Saddam Hussein et les mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens à Abou Ghraib. Kadhafi a également évoqué la structure de la guerre civile en Irak et en Afghanistan, affirmant que les États-Unis n’ont pas le droit d’intervenir dans ces pays. Il a évoqué plusieurs cas, notamment la piraterie en Somalie, la production de vaccins et de médicaments à des fins commerciales et l’absence de projets de développement au Darfour. Il a affirmé que la solution à deux États était impossible et a appelé à une nouvelle génération de jeunes Palestiniens et Israéliens qui n’éprouvent aucune hostilité les uns envers les autres.

01:00:00 Dans cette section, Kadhafi parle de l’histoire des Nations Unies et du rôle du Conseil de sécurité dans l’autorisation de l’agression. Il appelle à un procès et à la responsabilisation des responsables et suggère que les torts passés doivent être rectifiés afin de prévenir de futurs conflits. Kadhafi mentionne plusieurs cas spécifiques, notamment la guerre de Corée, la guerre du canal de Suez, la guerre du Vietnam, la controverse de Panama, l’invasion de la Grenade et le bombardement de la Somalie. Il soutient que les Nations Unies doivent garantir qu’elles sont efficaces dans le maintien de la paix et de la sécurité dans le monde entier et que les États membres doivent être tenus responsables de toute agression.

01:05:00 Dans cette partie du discours de Mouammar Kadhafi à l’Assemblée générale des Nations Unies, il critique l’invasion de l’Irak et le procès et l’exécution qui ont suivi Saddam Hussein, l’ancien président de l’Irak. Kadhafi affirme que l’invasion de l’Irak était une violation de la Charte des Nations Unies et que le procès de Hussein était une injustice. Il appelle également à des enquêtes sur les raisons de l’invasion de l’Irak et au procès de Hussein, ainsi qu’à un procès pour ceux qui ont commis des massacres en Irak.

01:10:00 Mouammar Kadhafi, le leader de la Libye, a prononcé un discours à l’Assemblée générale des Nations Unies le 23 septembre 2009. Dans cette section, Kadhafi remet en question le traitement des prisonniers de guerre, y compris la mort de Saddam Hussein et les mauvais traitements. des prisonniers irakiens à Abu Ghraib. Il évoque également le conflit en cours en Afghanistan et s’interroge sur les raisons des guerres en Irak et en Afghanistan.

01:15:00 Dans cette section, Kadhafi prononce un discours de 2009 devant l’Assemblée générale des Nations Unies. Au cours de son discours, il évoque la structure de la guerre civile en Irak et en Afghanistan, affirmant que les États-Unis n’ont pas le droit d’intervenir dans ces pays. Kadhafi estime que les Américains sont intervenus dans ces pays et se demande pourquoi les États-Unis restent silencieux alors que les terroristes sont dirigés contre les Américains. Il suggère une enquête sur les assassinats de dirigeants et le meurtre du président John F. Kennedy. Kadhafi estime que les États-Unis n’ont pas dit la vérité et qu’ils ont agi comme un « diable » en prenant des décisions qui ne profitent pas à l’humanité. Enfin, il critique les États-Unis pour avoir supprimé la loi et pour ne pas avoir respecté la souveraineté d’un Palestinien qui a été lésé en 2009.

01:20:00 Dans cette section, Kadhafi évoque plusieurs exemples

01:25:00 Dans cette partie de son discours, Mouammar Kadhafi a abordé la question de la piraterie en Somalie, déclarant que les Somaliens n’étaient pas des pirates mais plutôt des défenseurs de leurs zones économiques et de leurs ressources de pêche. Il a suggéré que la communauté internationale négocie un accord avec les pirates pour respecter leur zone économique exclusive de 200 milles et empêcher les pays de rejeter des déchets toxiques sur la côte somalienne. Kadhafi a également critiqué la production de vaccins et de médicaments à des fins commerciales, arguant qu’ils devraient être gratuits pour protéger la population. Il a appelé à un réexamen de la Convention d’Ottawa sur les mines terrestres et s’est prononcé contre l’utilisation d’armes de destruction massive, affirmant que les mines antipersonnel devraient être utilisées pour se défendre contre une invasion. Concernant la situation palestinienne, Kadhafi a fait valoir que la solution à deux États était impossible et peu pratique à l’heure actuelle.

01:30:00 Dans cette partie du discours de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi à l’Assemblée générale des Nations Unies en 2009, il exprime son point de vue sur le conflit israélo-palestinien et l’implication de l’ONU dans divers conflits. Il affirme que le chevauchement des deux États est le résultat d’une violation du Cachemire et du manque de projets de développement au Darfour. Kadhafi appelle à une solution qui génère une nouvelle génération de jeunes Palestiniens et Israéliens sans hostilité les uns envers les autres. Il plaide également pour la paix au Darfour et affirme que la Libye continuera de militer en faveur d’un monde plus pacifique.