En parallèle, une autre enquête, toujours en cours, a été ouverte à la fin de l’année 2023, pour des faits de violences qu’auraient également perpétrés des surveillants, a précisé le parquet. Une cellule en particulier, la 130, était « le lieu privilégié de déploiement des violences imputées à l’équipe de surveillants mise en cause et le cœur de ce système d’exactions et de menaces », selon le rapport de la CGLPL, publié en juin.