Lancée en 2016 et spécialisée dans la transformation des biodéchets, une entreprise française, Les Alchimistes, fait du compost à partir de matières premières r...
Ce que je disais surtout, et que j’ai déjà répété, c’est que la possibilité de donner des restes aux animaux n’est pas une raison pour élever des animaux. Si les animaux sont là, oui, tant mieux si on peut leur donner des restes. Mais on n’élève pas des animaux parce que on a des restes à leur donner. Ça serait un peu comme faire un enfant parce qu’on a une pièce qui ne sert pas dans la maison.
Ces nutriments peuvent venir d’ailleurs : nos propres excréments (ça tombe bien c’est justement les mêmes nutriments que ceux qu’on a puisé), le compostage, ou en les fabriquant autrement.
C’est interdit. Et ya une bonne raison. Tu sais pourquoi ?
Non, mais probablement à cause des médicaments qu’on s’enfile et qui se retrouvent dans nos excréments. Pourtant on donne aussi des médicaments aux animaux, et pas mal de gens ont des toilettes sèches et s’en servent de compost.
Mais ce n’était qu’un des exemples dans ma réponse. La plupart des plantes qu’on mange actuellement n’ont pas poussé à l’aide de fumier, il n’y en aurait jamais assez. Donc le fumier n’est pas indispensable, on sait forcément faire autrement.
Mais ce n’était qu’un des exemples dans ma réponse. La plupart des plantes qu’on mange actuellement n’ont pas poussé à l’aide de fumier, il n’y en aurait jamais assez. Donc le fumier n’est pas indispensable, on sait forcément faire autrement.
Tomate, patate, courgette, aubergine…Toute ces plantes gourmandes on fait l’objet d’un apport qu’il soit du compost vert ou de fumier. Le fumier est indispensable et fait parti intégrante de la nature. La forêt utilise les matières fécales des animaux. C’est un cycle.
Non, mais probablement à cause des médicaments qu’on s’enfile et qui se retrouvent dans nos excréments. Pourtant on donne aussi des médicaments aux animaux, et pas mal de gens ont des toilettes sèches et s’en servent de compost
Exactement, c’est l’absurdité. Néanmoins j’aimerai soulever 2-3 points concernant les médocs et les animaux. Dans les elevages non industrielles, on en utilise très peu. Quand ils sont malades, on les soigne comme le serait un etre humain. D’autre part, donner des médicament à titre préventif est strictement interdit en France d’après une amie qui travail dans ce domaine (labo médicale pour animaux).
En effet, les maraichers n’ont pas le droit de l’utiliser pour les plantes en raison du risque de contamination des sols si le compost a été mal réalisé. Donc nous l’utilisons, si on a des toilettes sèches, dans les massifs et arbres. Dans certain endroits, il faut que ce soit certifié. Et le pire c’est qu’on gaspille cet Or noir dans les eaux, les eaux grises. Et c’est une vraie reflexion qu’on devrait mener en parrallèle de l’installation de compost dans les villes.
Mais ce n’était qu’un des exemples dans ma réponse. La plupart des plantes qu’on mange actuellement n’ont pas poussé à l’aide de fumier, il n’y en aurait jamais assez. Donc le fumier n’est pas indispensable, on sait forcément faire autrement.
Tomate, patate, courgette, aubergine…Toute ces plantes gourmandes on fait l’objet d’un apport qu’il soit du compost vert ou de fumier. Le fumier est indispensable et fait parti intégrante de la nature. La forêt utilise les matières fécales des animaux. C’est un cycle.
Tu dis qu’il faut soit du compost soit du fumier, et après tu dis que le fumier est indispensable, c’est contradictoire.
Oui il faut des apports, mais pas nécessairement du fumier. Je le redis : ça serait juste pas possible de produire tous les legumes qui sont actuellement produits s’il fallait du fumier systématiquement. On n’aurait juste pas assez de fumier.
En effet, les maraichers n’ont pas le droit de l’utiliser pour les plantes en raison du risque de contamination des sols si le compost a été mal réalisé. Donc nous l’utilisons, si on a des toilettes sèches, dans les massifs et arbres. Dans certain endroits, il faut que ce soit certifié. Et le pire c’est qu’on gaspille cet Or noir dans les eaux, les eaux grises. Et c’est une vraie reflexion qu’on devrait mener en parrallèle de l’installation de compost dans les villes.
Donc c’est juste un problème de retraitement et de législation. Actuellement on ne peut pas mais on peut très bien imaginer qu’on puisse. Tu ne l’as peut être pas vu dans le message à propos du PETF du Shift Project mais disent justement que c’est ce qu’il faut faire : “valoriser et recycler à grande échelle les excrétats humains (urine et matières fécales)” (page 222, https://i.imgur.com/nMSkQMJ.png).
Tu dis qu’il faut soit du compost soit du fumier, et après tu dis que le fumier est indispensable, c’est contradictoire.
Oui parce que le compost des déchets verts est malheureusement de qualité variable et que selon le NPK, le pH ce sera peut-etre pas bénéfique pour les cultures.
Donc c’est juste un problème de retraitement et de législation. Actuellement on ne peut pas mais on peut très bien imaginer qu’on puisse. Tu ne l’as peut être pas vu dans le message à propos du PETF du Shift Project mais disent justement que c’est ce qu’il faut faire : “valoriser et recycler à grande échelle les excrétats humains (urine et matières fécales)” (page 222, https://i.imgur.com/nMSkQMJ.png).
Oui, placer les humains dans la synergie comme les animaux, cela fait partit du cycle. Cependant le problème n’est pas simple. Il faudrait qu’on resoud plusieur problemes en amont : les pertubateur endocrinien. (comme les medocs, pillules contraceptives, les produits menagers etc), les metaux lourds…et je sais plus, j’ai peut-etre écris des bétise car c’est la limites de ma connaissance sur le sujet. En fait, tout ce qui se retrouve dans le sol peut-etre dégradé ou non et c’est ce dernier point qui est très impoortant de vérifier sinon on va le retrouver dans notre assiette, dans notre corps. ça a déjà commencé avec le microplastique. C’est très grave.
On n’a pas forcément besoin de les dégrader spécifiquement, il faut surtout séparer ce qu’on veut garder et ce qu’on ne veut pas. Ensuite quand on n’a plus que des choses qu’on ne veut pas c’est plus facile de les transformer en masse en trucs inertes. C’est ce qu’on fait pour l’eau.
Ce que je disais surtout, et que j’ai déjà répété, c’est que la possibilité de donner des restes aux animaux n’est pas une raison pour élever des animaux. Si les animaux sont là, oui, tant mieux si on peut leur donner des restes. Mais on n’élève pas des animaux parce que on a des restes à leur donner. Ça serait un peu comme faire un enfant parce qu’on a une pièce qui ne sert pas dans la maison.
Non, mais probablement à cause des médicaments qu’on s’enfile et qui se retrouvent dans nos excréments. Pourtant on donne aussi des médicaments aux animaux, et pas mal de gens ont des toilettes sèches et s’en servent de compost.
Mais ce n’était qu’un des exemples dans ma réponse. La plupart des plantes qu’on mange actuellement n’ont pas poussé à l’aide de fumier, il n’y en aurait jamais assez. Donc le fumier n’est pas indispensable, on sait forcément faire autrement.
Tomate, patate, courgette, aubergine…Toute ces plantes gourmandes on fait l’objet d’un apport qu’il soit du compost vert ou de fumier. Le fumier est indispensable et fait parti intégrante de la nature. La forêt utilise les matières fécales des animaux. C’est un cycle.
Exactement, c’est l’absurdité. Néanmoins j’aimerai soulever 2-3 points concernant les médocs et les animaux. Dans les elevages non industrielles, on en utilise très peu. Quand ils sont malades, on les soigne comme le serait un etre humain. D’autre part, donner des médicament à titre préventif est strictement interdit en France d’après une amie qui travail dans ce domaine (labo médicale pour animaux).
En effet, les maraichers n’ont pas le droit de l’utiliser pour les plantes en raison du risque de contamination des sols si le compost a été mal réalisé. Donc nous l’utilisons, si on a des toilettes sèches, dans les massifs et arbres. Dans certain endroits, il faut que ce soit certifié. Et le pire c’est qu’on gaspille cet Or noir dans les eaux, les eaux grises. Et c’est une vraie reflexion qu’on devrait mener en parrallèle de l’installation de compost dans les villes.
Tu dis qu’il faut soit du compost soit du fumier, et après tu dis que le fumier est indispensable, c’est contradictoire.
Oui il faut des apports, mais pas nécessairement du fumier. Je le redis : ça serait juste pas possible de produire tous les legumes qui sont actuellement produits s’il fallait du fumier systématiquement. On n’aurait juste pas assez de fumier.
Donc c’est juste un problème de retraitement et de législation. Actuellement on ne peut pas mais on peut très bien imaginer qu’on puisse. Tu ne l’as peut être pas vu dans le message à propos du PETF du Shift Project mais disent justement que c’est ce qu’il faut faire : “valoriser et recycler à grande échelle les excrétats humains (urine et matières fécales)” (page 222, https://i.imgur.com/nMSkQMJ.png).
Oui parce que le compost des déchets verts est malheureusement de qualité variable et que selon le NPK, le pH ce sera peut-etre pas bénéfique pour les cultures.
Oui, placer les humains dans la synergie comme les animaux, cela fait partit du cycle. Cependant le problème n’est pas simple. Il faudrait qu’on resoud plusieur problemes en amont : les pertubateur endocrinien. (comme les medocs, pillules contraceptives, les produits menagers etc), les metaux lourds…et je sais plus, j’ai peut-etre écris des bétise car c’est la limites de ma connaissance sur le sujet. En fait, tout ce qui se retrouve dans le sol peut-etre dégradé ou non et c’est ce dernier point qui est très impoortant de vérifier sinon on va le retrouver dans notre assiette, dans notre corps. ça a déjà commencé avec le microplastique. C’est très grave.
On sait faire de nettoyer tout ça, on le fait pour l’eau potable dans les villes. Et si le shift le suggère c’est qu’ils on évalué la faisabilité.
Je sais pas. Toutes les molécules sont dégradables ? En tout cas, il faut massivement investir sans tarder et faire des sites pilotes.
On n’a pas forcément besoin de les dégrader spécifiquement, il faut surtout séparer ce qu’on veut garder et ce qu’on ne veut pas. Ensuite quand on n’a plus que des choses qu’on ne veut pas c’est plus facile de les transformer en masse en trucs inertes. C’est ce qu’on fait pour l’eau.
Hello, juste pour info on a migré vers !france@jlai.lu si ça t’intéresse
J’ai vu, mais on ne peut pas continuer cette conversation là bas, si ?
Non, helas mais c’est bien de faire une pause et d’en profiter pour lire un peu. Allez vient ! ;)
Non, malheureusement, mais c’était pour être sûr que tu aies vu :)