Le centre Pompidou de Metz a annoncé porter plainte, après que plusieurs oeuvres, dont L’origine du monde de Courbet, ont été tagués "MeToo" par l’artiste et performeuse Deborah de Robertis. La performeuse, qui a aussi dérobé une broderie “Je pense donc je suce” de la plasticienne Annette Messager, a par ailleurs mis en ligne une ancienne vidéo la représentant sur un lit avec le commissaire de l’exposition, Bernard Marcadé. Performance artistique provocatrice, ou amorce d’un MeToo dans le milieu de l’art contemporain ?