La France devrait, comme d’autres pays, permettre aux étudiants et aux chercheurs d’objecter à l’expérimentation animale, défend l’auteur de cette tribune. Un premier pas sur le chemin de son abolition.
Victor Prandt est chargé de projet et référent de la Révolution écologique pour le vivant (REV) en Auvergne-Rhône-Alpes. En France, plus de 2,1 millions d’animaux sont instrumentalisés chaque année dans des expériences scientifiques ; dans l’Union européenne, ce sont 22 millions d’animaux qui sont (...)
Ça serait déjà une belle avancée.