Et de s’interroger sur la «difficulté de la planification dans ce secteur» : «comment passer, en une génération (d’ici 2050), d’un système adapté à une production de commodités échangées sur des marchés mondiaux et incapables de fournir des produits «finis» localement, à des productions bien plus diversifiées localement, qui voyagent moins, et qui viendront de parcelles moins productives pour certaines cultures ?».

Il soulève aussi un autre défi : «comment faire accepter au consommateur final la hausse des prix en sortie d’exploitation qui ira fatalement avec une hausse de l’emploi dans le secteur ?»