Comme le ciel pénétré
Le corps s’éveille
Son éclair
Chair ouragan
Le souffle en fuite
La carcasse ébahie
Aux yeux écartelés par le blast
L’Impuissance
On a planté ton corps du métal de la médecine
Et tes membres portent le poids massif de la béquille
La béquille ne permet pas de marcher
Elle désigne les Incapables
Luz Volckmann, dans Aller la rivière
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