L'expression « chemin de fer fantôme » est entrée dans le vocabulaire des infrastructures brésiliennes après que la Cour des comptes fédérale (TCU) a constaté que 56 % du réseau comptait moins de deux trains par jour, signe évident d'inactivité et de gaspillage de capacité. Ce diagnostic met en lumière un problème de longue date : le pays a privilégié les routes, laissé vieillir les voies et désormais payer plus cher le transport de marchandises.
Traduction bancale. Toute ressemblance avec un pays plus proche de vous ne serait que purement fortuite.