Avec son duo composé de Margot Robbie et Ryan Gosling avec en tête d'affiche, le long-métrage a déjà totalisé plus de 1,03 milliard de dollars de recettes, selon les estimations du cabinet Exhibitor Relations, dont 459 millions en Amérique du Nord.
Sensation d’avoir été floué dès le début : pur film placement de produit enrobé de féminisme balourd, voire contre-productif. Ken en devient rapidement sympathique (pauvre ouin-ouin), Mattel sont de bons gars au fond et Barbie ne change rien au final… Tu es une femme qui en bave tous les jours ? Pas de souci, tu peux te réfugier dans le monde coloré et imaginaire de Barbie.
Je comprends que pour beaucoup ce soit dangereusement subversif, mais j’ai finalement assisté à ce que je craignais.
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> Tu es une femme qui en bave tous les jours ? Pas de souci, tu peux te réfugier dans le monde coloré et imaginaire de Barbie.
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Bref, c’est le monde des Bisounours, sauf qu’on ne s’adresse plus aux moins de 6 ans, mais à des adultes Et accessoirement, les Bisounours qui s’occupent des orphelins, donc traitent par défaut d’un thème lourd, ne gardent les enfants que le temps d’une crise. Les orphelins finissent toujours par retourner à la réalité.
Sensation d’avoir été floué dès le début : pur film placement de produit enrobé de féminisme balourd, voire contre-productif. Ken en devient rapidement sympathique (pauvre ouin-ouin), Mattel sont de bons gars au fond et Barbie ne change rien au final… Tu es une femme qui en bave tous les jours ? Pas de souci, tu peux te réfugier dans le monde coloré et imaginaire de Barbie. Je comprends que pour beaucoup ce soit dangereusement subversif, mais j’ai finalement assisté à ce que je craignais.
> > > Tu es une femme qui en bave tous les jours ? Pas de souci, tu peux te réfugier dans le monde coloré et imaginaire de Barbie. > >
Bref, c’est le monde des Bisounours, sauf qu’on ne s’adresse plus aux moins de 6 ans, mais à des adultes Et accessoirement, les Bisounours qui s’occupent des orphelins, donc traitent par défaut d’un thème lourd, ne gardent les enfants que le temps d’une crise. Les orphelins finissent toujours par retourner à la réalité.