Extrait :

Me Jakubowicz appuie : « On a bien compris votre loyauté à l’égard de M. Blanquer […]. Mais s’il n’y a pas l’enquête de Mediapart, il n’y a pas de procès aujourd’hui. » Sous-entendu : les équipes du ministre, informées des malversations, auraient continué à laisser les jeunes faire chauffer la carte bleue de l’association. « On nous a dit qu’un syndicat lycéen, ce n’est jamais contrôlé. Politiquement, c’était un accord tacite », finit par révéler Nathan Monteux.