Orally administrable and metabolically stable, AOH1996 [la molécule dont parle l’article] suppresses tumor growth as a monotherapy or as a combination treatment but causes no discernable side effects.
Les antiproliférants utilisés en chimiothérapie sont des molécules avec des gros effets secondaires un peu par nature (puisqu’elles stoppent le renouvellement des cellules d’où la fameuse perte de cheveux), donc s’ils disent qu’ils n’en voient aucun (je suis d’accord seulement à court terme), ça reste une belle performance. Reste à voir ce que donnera la molécule au-delà duj contexte de cette seule étude. Et de ce type de cancer aussi, on peut difficilement imaginer une molécule agir contre n’importe quel type de cancers, il y a trop de diversité.
Tiré de l’étude :
“no discernable side effects” tout du moins à cours terme je suppose ?
Les antiproliférants utilisés en chimiothérapie sont des molécules avec des gros effets secondaires un peu par nature (puisqu’elles stoppent le renouvellement des cellules d’où la fameuse perte de cheveux), donc s’ils disent qu’ils n’en voient aucun (je suis d’accord seulement à court terme), ça reste une belle performance. Reste à voir ce que donnera la molécule au-delà duj contexte de cette seule étude. Et de ce type de cancer aussi, on peut difficilement imaginer une molécule agir contre n’importe quel type de cancers, il y a trop de diversité.
Très interessant merci !