J’ai franchi quelques couloirs désaffectés, avant d’arriver dans un dernier sas.
Quand je pousse les portes battantes de ce que je crois d’abord être une sorte de réfectoire, un homme posté là, en polo noir, m’arrête avec gentillesse et détermination.
Il prend ma main pour scruter les lignes qui courent à l’intérieur de la paume. En deux secondes il a cerné ma vraie nature :
— T’es un calme toi. C’est bon tu peux passer.
Derrière les portes, je crois que c’est un studio d’enregistrement.