Le titre est mauvais, on est là en présence de caprices de bureaucrates qui veulent justifier leur existence et qui usent du terme de « libéralisation » pour parler d’une mise en concurrence d’un lot arbitraire avec des conditions arbitraires pour satisfaire à un de leurs fantasmes. On a bien vu ce que donnent les sanctions de ces institutions que les pays choisissent d’ignorer complètement : rien. Les prisons françaises sont toujours surpeuplées et indignes et les parquets toujours soumis à l’exécutif.