Pendant des années, Hérouxville a été le symbole de la xénophobie au Québec. Le code de vie adopté par le conseil municipal en 2007, qui interdisait de lapider les femmes ou de les « brûler vives », a fait le tour du monde, tout en déclenchant ici la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables.
Je découvre le code de vie d’Hérouville et c’est complètement lunaire ce truc… Complétement lunaire…