Dans l’indifférence générale, le Programme des Nations Unies pour l'environnement (UNEP) a publié le 28 février dernier le rapport « One Atmosphere », première synthèse réalisée par l’institution onusienne à propos des risques associés aux techniques de « gestion du rayonnement solaire ». Nous l’avons lu pour vous.
Résultat ? Tout en encourageant « l’ouverture et la transparence scientifiques », ainsi qu’un « contrôle approprié sur les résultats locaux, nationaux et internationaux de ces recherches », Andrea Hinwood estime qu’il serait « naïf » de penser que la recherche en matière de géo-ingénierie « disparaîtra ». « Nous ne pouvons pas nous permettre de nous enterrer la tête dans le sable », met-elle en garde. D’où son appel à prendre en compte les nombreux risques associés à la géo-ingénierie solaire, que le rapport synthétise à travers six catégories suivantes.