Des communes françaises se sont récemment mises au dessalement de l’eau de mer pour faire face à la sécheresse. Ce procédé a cependant des répercussions écologiques néfastes.
Faute de pluie, boirons-nous bientôt de l’eau dessalée ? L’idée peut sembler tentante, alors que le pays se dirige, lentement mais sûrement, vers une nouvelle sécheresse estivale, et que le changement climatique promet de raréfier nos ressources en eau.
Déjà adopté depuis une cinquantaine d’années sur l’île de Sein, en Bretagne, le (...)
les voitures électriques sont aussi une fausse solution si on suit cette logique: tant qu’elles seraient chargées par des centrales à fossile ou nucléaire, elles ne sont pas donc ‘durables’. Comme toute activité primordiale et énergivore, le dessalement n’est pas un problème en soi-même, mais plutôt les stations de géneration électrique qui doivent être renovées en renouvelables…pour les rejets toxiques, on les traite comme les déchêts nucléaires. mais avec le renouvelable solaire, on pourrait se passer du nucléaire et aurait affaire qu’à une seule forme de déchêts (au lieu de deux)
les voitures électriques sont aussi une fausse solution si on suit cette logique: tant qu’elles seraient chargées par des centrales à fossile ou nucléaire, elles ne sont pas donc ‘durables’. Comme toute activité primordiale et énergivore, le dessalement n’est pas un problème en soi-même, mais plutôt les stations de géneration électrique qui doivent être renovées en renouvelables…pour les rejets toxiques, on les traite comme les déchêts nucléaires. mais avec le renouvelable solaire, on pourrait se passer du nucléaire et aurait affaire qu’à une seule forme de déchêts (au lieu de deux)