Le président américain est resté évasif sur ces garanties de sécurité réclamées avec insistance par les Européens pour parvenir à une paix juste et durable en Ukraine.
Je me permet de relancer cette conversation ou tout du moins y apporter ma réponse de clôture. Celle-ci s’est faite attendre, car je n’avais pas les éléments en ma possession me permettant de pleinement développer ma position. C’est chose faite et je vais tenter de présenter une ébauche.
Bien que je sois en grande partie en accord avec vous sur le sujet. Je ne pense pas que ça soit si simple que ça … En tout cas dans le sens communément admis par la majorité de la population assez méconnaissant de la géopolitique et diplomatie mondiale dans le détail (et non dans les mécaniques possible).
En effet, ma précédente remarque tenait en grande partie sur les accords de Budapest entre URSS et OTAN. Si je vous concède que l’activité de l’organisation Outre-Atlantique n’est pas la plus véloces ces dernière années (ou décennies), il y a beaucoup qui tiennent en la symbolique dans cette réponse russe à l’Ukraine.
Je pense, selon moi, qui est assez compliqué de nier qu’il y a encore aujourd’hui des stigmates de la guerre froide et en théorie les accords entre l’ex-URSS et les État-Unis au travers de l’OTAN ont été un message important dans la fin des tensions officielles.
Ce qui fait que l’intégration de pays de plus en plus proche de la Russie au sein de l’OTAN on permit – à défaut d’être ou non une réelle motivation – de justifier l’intervention militaire par Vladimir Poutine. On ajoute à cela certainement une vieille nostalgie de l’époque par ce dernier et peut-être des événements* direct ou indirect, porté à la connaissance du public ou non et … paf … ça fait des chocapik une invasion.
Donc selon moi ce n’est pas forcément ça qui a provoqué l’invasion, mais en a tout du moins servit comme justification car la symbolique derrière est manifeste. Mais je reconnais que mon message initial manquait de clarté et était un peu tarabiscoté dans sa formulation.
(*) : que l’on qualifiera d’hypothétique car je n’en vois pas en particulier n’étant pas expert du sujet
Je me permet de relancer cette conversation ou tout du moins y apporter ma réponse de clôture. Celle-ci s’est faite attendre, car je n’avais pas les éléments en ma possession me permettant de pleinement développer ma position. C’est chose faite et je vais tenter de présenter une ébauche.
Bien que je sois en grande partie en accord avec vous sur le sujet. Je ne pense pas que ça soit si simple que ça … En tout cas dans le sens communément admis par la majorité de la population assez méconnaissant de la géopolitique et diplomatie mondiale dans le détail (et non dans les mécaniques possible).
En effet, ma précédente remarque tenait en grande partie sur les accords de Budapest entre URSS et OTAN. Si je vous concède que l’activité de l’organisation Outre-Atlantique n’est pas la plus véloces ces dernière années (ou décennies), il y a beaucoup qui tiennent en la symbolique dans cette réponse russe à l’Ukraine.
Je pense, selon moi, qui est assez compliqué de nier qu’il y a encore aujourd’hui des stigmates de la guerre froide et en théorie les accords entre l’ex-URSS et les État-Unis au travers de l’OTAN ont été un message important dans la fin des tensions officielles.
Ce qui fait que l’intégration de pays de plus en plus proche de la Russie au sein de l’OTAN on permit – à défaut d’être ou non une réelle motivation – de justifier l’intervention militaire par Vladimir Poutine. On ajoute à cela certainement une vieille nostalgie de l’époque par ce dernier et peut-être des événements* direct ou indirect, porté à la connaissance du public ou non et … paf … ça fait des
chocapikune invasion.Donc selon moi ce n’est pas forcément ça qui a provoqué l’invasion, mais en a tout du moins servit comme justification car la symbolique derrière est manifeste. Mais je reconnais que mon message initial manquait de clarté et était un peu tarabiscoté dans sa formulation.
(*) : que l’on qualifiera d’hypothétique car je n’en vois pas en particulier n’étant pas expert du sujet