12 ans après sa création controversée, le Traitement d’antécédents judiciaires (TAJ), sorte de « casier judiciaire bis », a vu le nombre de personnes fichées comme ayant été « mises en cause » par la Police ou la Gendarmerie passer de 9 à 24 millions (+167 %), dont 16 millions qui le sont encore nominativement. […]
No one is innocent !