Dans le cadre familial ou celui d’une garde d’enfants, certains élèves parlent d’autres langues que le français. Un plurilinguisme que l’école gagnerait à valoriser. Retour sur une expérimentation.
Ça provient principalement d’un rapport du British Council :
The writer and researcher David Graddol has warned that monoglot English graduates face a bleak economic future: qualified multilingual youngsters from other countries are proving to have a competitive advantage over their British counterparts in global companies and organisations. Scott L Montgomery, writing of scientific research, warns that the real casualty from the global spread of English may actually be the native speaker: ‘The rest of the world will have access to everything s/he does, but s/he will have access to little or nothing beyond the edges of his own tongue.‘
En gros de plus en plus de gens apprennent l’anglais, et pas forcément au RU ou aux US, car les universités d’autres pays proposent de plus en plus de cours en anglais. Ainsi un chinois par exemple n’a pas besoin de se rendre à l’étranger pour apprendre l’anglais, et une fois sur le marché du travail ces personnes ont un avantage considérable sur les anglophones natifs car ils sont peu à maîtriser des langues étrangères (notamment les langues de marchés émergents). La popularité de l’anglais commence à se retourner contre les anglophones.
Ça provient principalement d’un rapport du British Council : The writer and researcher David Graddol has warned that monoglot English graduates face a bleak economic future: qualified multilingual youngsters from other countries are proving to have a competitive advantage over their British counterparts in global companies and organisations. Scott L Montgomery, writing of scientific research, warns that the real casualty from the global spread of English may actually be the native speaker: ‘The rest of the world will have access to everything s/he does, but s/he will have access to little or nothing beyond the edges of his own tongue.‘
Cet article résume plutôt bien l’idée https://www.nzherald.co.nz/business/popularity-of-english-proves-achilles-heel/YGGUVJHO3TXH7RFMYTG4XQLIZ4/
En gros de plus en plus de gens apprennent l’anglais, et pas forcément au RU ou aux US, car les universités d’autres pays proposent de plus en plus de cours en anglais. Ainsi un chinois par exemple n’a pas besoin de se rendre à l’étranger pour apprendre l’anglais, et une fois sur le marché du travail ces personnes ont un avantage considérable sur les anglophones natifs car ils sont peu à maîtriser des langues étrangères (notamment les langues de marchés émergents). La popularité de l’anglais commence à se retourner contre les anglophones.
Super, merci !