Quand un ou une artiste, croyant à la nécessité existentielle, adhère à une commande, il ou elle appelle ceci « l’inspiration ». Les médias et la bourgeoisie, dont l’artiste est souvent composant, appelle ça : « expression ». L’état, lui, appelle cela « programme ». ( Par exemple : de type “subvention” ). Le capitalisme, plus profondément, appelle ça : « état des audiences ». Tous s’entendent, enfin, à nommer ceci : « œuvre d’art » - du moment où l’œuvrant et l’œuvré demeurent, eux ainsi que le champ de dissémination de l’œuvre, dans un statu quo sociopolitique. »