« Darons d’ailleurs ». Chaque semaine, un de nos journalistes à l’étranger explore la parentalité hors de nos frontières. En Allemagne, il est de coutume de débourser plus de 200 euros pour un simple cartable. Une tendance à laquelle se plient la majorité des parents. Mais la rébellion gronde.
Je me sens visée par cet article. Mais je pense qu’il y a aussi un phénomène d’époque. Quand j’étais petite, il y avait effectivement eu la quête du cartable, mais le plus important c’était que j’ai mon Schultüte. Maintenant on a internet et des livres à la pelle sur comment bien élever son enfant, des comparatifs de petites cuillères à la meilleure méthode pour les faites manger sain et équilibré (spoiler : ils voudront quand meme des chips au dîner). On a beau essayer de l’éviter, il y a une pression certaine et plus on a des ressources financières, plus on veut faire mieux pour son gamin. Ça passe aussi par acheter des trucs que l’on pense être de meilleure qualité (pas toujours le cas) et plus chers. Genre, leur acheter le pack complet avec le cartable, le sac de sport, la trousse et je sais plus trop quoi de Lässig à 280€.
Je me sens visée par cet article. Mais je pense qu’il y a aussi un phénomène d’époque. Quand j’étais petite, il y avait effectivement eu la quête du cartable, mais le plus important c’était que j’ai mon Schultüte. Maintenant on a internet et des livres à la pelle sur comment bien élever son enfant, des comparatifs de petites cuillères à la meilleure méthode pour les faites manger sain et équilibré (spoiler : ils voudront quand meme des chips au dîner). On a beau essayer de l’éviter, il y a une pression certaine et plus on a des ressources financières, plus on veut faire mieux pour son gamin. Ça passe aussi par acheter des trucs que l’on pense être de meilleure qualité (pas toujours le cas) et plus chers. Genre, leur acheter le pack complet avec le cartable, le sac de sport, la trousse et je sais plus trop quoi de Lässig à 280€.